Bonjour, je m'appelle Wendy Schulz, j'ai 33 ans, je suis une femme très heureuse et j'aime profiter de mon corps, j'aime écouter les gens et contribuer à leur développement personnel, connaissant leurs goûts et les qualités qu'ils possèdent. Je peux sembler innocent mais mon côté pervers peut être un peu exagéré au point que je peux devenir une déesse du sexe sauvage.
Infirmière, Secrétaire, Tatouage, Uniforme, Étudiante
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.C’était Isam le jardinier du lotissement et Gwen qui lui ont dit au revoir avec un long baiser et sont entrés dans la maison et ont croisé le chemin de Claudia à la porte, Gwen l’a prise par la main et l’a ramenée à l’intérieur - viens ici salope Gwen a coincé Claudia contre le mur et l’a embrassée sur les lèvres - Gwen s’il te plaît, Je n’ai pas le temps, je dois aller trouver Leo et il faut que ça s’arrête, je suis ton patron et tu es une employée - j’ai baisé tout le week-end et je ne pensais qu’à toi salope Claudia a fait un geste pour s’éloigner de Gwen, mais elle a insisté et l’a embrassée à nouveau et lui a donné sa langue - voyons comment tu as ta chatte Gwen a déboutonné le bouton et l’a dézippé pantalon et sa main glissée sous sa culotte - Gwen s’il te plaît respecte-moi... C’est ma maison Le doigt de Gwen a atteint la fente de Claudia et l’a fait courir de bas en haut - tu as une chatte humide…. Quelle salope tu es Gwen a mis son doigt dans sa chatte et a commencé à baiser, tandis que Claudia a poussé un soupir et a ouvert ses jambes et a serré Gwen dans ses bras et elles se sont embrassées, Gwen enfonçait et sortait intensément son doigt, Claudia a commencé à gémir bruyamment - salope de sperme... Je veux que tu le fasses pour moi Claudia n’a pas pu se retenir et a joui en étreignant Gwen - Je vais changer de culotte et je vais avoir mon fils…. Claudia bavarde - Je veux que tu t'en ailles comme ça avec tes culottes mouillées, pour que tu sois bien claire que tu es ma pute Claudia est sortie et est allée chercher son fils sans se changer et quand je suis arrivée à la gare routière elle ne descend pas de son véhicule, son fils est entré, ils se sont embrassés. - Comme tu es partie maman - très calme, tout le week-end en regardant netflix - comme ça sent, tu ne le remarques pas - ne te fais pas d'odeur.........Claudia sous la fenêtre, elle ne pouvait pas dire à son fils que ce qui sentait c'était son coq parce qu'elle venait de courir et qu'il faisait très chaud à nouveau Ils sont arrivés chez lui et ont dîné et sont allés dormir et Claudia a recommencé à se masturber avec des pensées douces. La semaine s'est passée très tranquillement, Claudia allait se coucher la nuit et attendait que Gwen ne se glisse dans sa chambre et ne se masturbe.. Son fils lui a dit qu'il allait passer le week-end avec des amis dans une ville proche, Claudia a fait un signe d'accueil et Gwen l'a regardée avec une envie lascive et Claudia a senti son corps s'exciter.
.Le week-end, Claudia accompagne son fils et s'arrête pour dîner avec des collègues. Elle rentre chez elle. Gwen l'attend dans la cuisine avec son ami Isam, le jardinier du complexe.. - Mon ami veut vous rencontrer... Gwen a dit, Isam a souri à Claudia et a touché le paquet, Gwen s’est tenue derrière Claudia et Isam devant et Gwen a passé ses mains sous son pull pour l’enlever, et Claudia s’est précipitée et a essayé de s’éloigner d’eux, mais Gwen l’a tenue par derrière et Isam l’a attrapée fermement et l’a giflée, Claudia le regarda d’un air de défi, tandis que Gwen déboutonnait son soutien-gorge et commençait à se masser les seins et lui murmurait à l’oreille - aujourd’hui tu vas profiter beaucoup salope - s’il te plaît Gwen laisse-moi, je ne veux pas... Je t’en supplie Isam a enlevé son pull et son soutien-gorge et Gwen lui a massé les mamelons et Isam a baissé son pantalon et a sorti sa bite - regarde quelle bite j’ai pour toi Claudia a regardé la bite d’Isam, c’était la plus grosse qu’elle ait jamais vue, tandis que Gwen l’embrassait par le cou et pinçait ses mamelons - quels seins la très salope a... Gwen Isam hocha la tête et les caresses de Gwen commencèrent à faire effet et Claudia soupira. Isam a pris les mains de Claudia et les a amenées à sa bite, Claudia a tourné la tête pour regarder Gwen - je t’en supplie de ne pas me faire ça... Claudia demanda à Gwen en pleurant... Isam a commencé à caresser les seins de Claudia et à masser ses mamelons - comment ses seins se portent... Ton patron est tellement sexy... Isam dit à Gwen : « Que veux-tu que je fasse d’elle ? » - Je veux voir comment tu la baises... Claudia regarda Isam et secoua la tête et l’excitait de temps en temps, ses mains masturbaient déjà la bite d’Isam, tandis que Gwen l’embrassait dans le cou et lui grattait les seins - regardez comme elle devient chaude... Il a envie de baiser... Isam a dit que Claudia était très excitée, ses mamelons en érection l’ont trahie, Isam l’a fait se pencher et a passé sa bite dans ses seins et a attrapé sa nuque et a porté sa bite à sa bouche, Claudia l’a supplié de ne pas le faire, mais Isam l’a mis dans sa bouche - quelle bouche chaude tu as salope Claudia a grogné mais Isam lui a attrapé la tête et Claudia lui a frappé la poitrine avec ses mains Isam a sorti sa bite de sa bouche et l’a giflée - tu vas sucer ma bite bien sucée petite salope Isam a remis sa bite dans sa bouche et Claudia l’a attrapée à deux mains et a commencé à la sucer, Gwen a lâché prise et a regardé comment Claudia lui faisait une fellation complète, Isam souriait - très bien... Suce-le comme ça... tu aimes ma bite salope Gwen pieds nus et a commencé à déboutonner son pantalon - regarde-moi pendant que tu le suces Claudia obéit et regarda Isam pendant qu’elle mettait tout le bout de sa bite dans sa bouche - donne-moi avec sa langue sur le bout Claudia l’a léché sur le gland pendant qu’elle regardait Isam et a attrapé sa bite fort et elle l’avait de plus en plus dur - rends-le très dur... Pour te baiser fort... Gwen lui murmura à l’oreille - comme si tu suçais la petite salope... Tu aimes une bonne bite... sucer autant que tu veux, Gwen avait déjà baissé son pantalon et mis sa main sous sa culotte - elle est très mouillée... veut baiser... Il fait très chaud, Isam a pris Claudia dans ses bras, l’a embrassée et ils se sont donné des langues - Emmenez-moi dans ta chambre, salope, je veux te baiser, Claudia avait l’air gênée de Gwen et Isam,
elle était très excitée et a attrapé Isam par la bite et l’a emmené dans sa chambre... Toute une déclaration d’intention et quand ils sont arrivés dans la chambre, Gwen l’a embrassée et lui a léché les mamelons - comment vas-tu te faire baiser ce soir salope... Gwen Claudia a dit, elle l’a regardée d’un air morbide, « Tu fais de moi une salope... » Je ne suis pas comme ça... mais je suis tellement excitée Gwen était assise sur le lit et étreignait Claudia qui se levait et attrapait ses seins et mordait ses mamelons et passait ses doigts dans la fente de sa chatte et enfonçait un doigt dans son cul - tu veux que je fasse de toi une salope - fais de moi une salope ce soir Gewn a étiré Claudia sur le lit, Elle a écarté les jambes et a commencé à manger sa chatte, j’ai ouvert les lèvres de sa chatte avec mes doigts et j’ai soufflé sur son clitoris puis je l’ai léché vigoureusement, Claudia a gémi bruyamment - tu aimes que je mange ta chatte potelée - j’adore la façon dont tu manges ma chatte... tu me rends fou Gwen lui a léché le clitoris du bout de la langue - mange ma chatte... Je veux que tu me fasses jouir Isam regardait la scène d’un air morbide et s’est mis à genoux à côté du visage de Claudia et elle a attrapé sa bite avec sa main. - Donne-moi ta bite... Claudia a pris la bite d’Isam dans sa bouche et a commencé à la sucer, pendant que Gwen l’emmenait à son premier orgasme de la nuit, elle a joui et a laissé échapper un cri tout en saisissant fort la bite d’Isam - vous l’avez déjà bien lubrifiée... Gwen a dit qu’Isam a passé sa main sur la chatte de Claudia pendant qu’elle remettait sa bite dans sa bouche - baise-moi maintenant - tu veux que je te baise salope Claudia a écarté les jambes et Isam a passé son gland sur les lèvres de sa chatte, Claudia a laissé échapper un cri et Isam a repassé le gland sur son clitoris - elle n’en pouvait plus, baise-moi tout de suite, Moor Isam l’a pénétrée sauvagement et a sorti sa bite et l’a replongée profondément, Claudia a crié de plaisir -tu aimes que je la pousse comme cette salope - baise-moi bien baisée... Mon mari n’avait pas ce que votre... Isam s’est mise à genoux et a commencé à la baiser profondément - ta chatte est très serrée... Je vais l’ouvrir pour toi - N’arrête pas de me baiser... Ce que je ressens votre... Tu vas me détruire, mais baise-moi Isam l’a baisée intensément, c’était un baiseur expert et je savais qu’en face de lui, il avait une femme très chaude et insatisfaite et il a attrapé ses seins et lui a massé les mamelons avec ses doigts, Claudia se tordait de plaisir - j’aime te baiser putain de coups comme toi, si ton mari ne t’a pas donné ce dont tu as besoin, je vais te baiser Claudia a joui sauvagement et Isam a sorti sa bite d’elle sa chatte et un jet de liquide dégoulinait sur les draps, Isam l’a sortie du lit et a mis ses pieds sur le sol et son ventre et sur le lit, l’a attrapée et a tenu ses seins et l’a pénétrée profondément à nouveau, Claudia a poussé un cri et a commencé à gémir bruyamment et à donner des coups de pied, Gwen s’est tenue devant lui et a soulevé son visage et l’a embrassée - tu aimes la façon dont elle te baise... Gwen a dit - Je n’ai jamais été baisée comme ça... quelle bite Isam a attrapé ses fesses et l’a pénétrée profondément - comme j’aime te baiser potelée... Quel cul tu as, Isam lui a giflé les fesses et Claudia a crié d’approbation, Gwen lui a pincé les mamelons et Isam l’a baisée fougueusement, Claudia hurlait en gémissant, Gwen a embrassé Isam sur les lèvres - Baise-la bien baisée... Gwen a dit à Isam - Je vais baiser la potelée de ton patron Claudia ne pouvait plus supporter le plaisir et ses yeux se sont révulsés et elle est revenue à nouveau, Isam l’a penchée et a mis sa bite dans sa bouche -suce-la salope... Je veux jouir dans ta bouche Claudia a secoué la tête - je ne veux pas que tu jouisses dans ma bouche Isam a remis sa bite dans sa bouche et a éjaculé dans sa bouche et sur tout le visage de Claudia qu’elle était épuisée sur le sol, Gwen s’est assise à côté d’elle et l’a embrassée et elles ont partagé le lait d’Isam - tu me rends très salope... Claudia a dit.. Ça va continuer..
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-Anonyme
Et c'est ainsi que nos conversations ont commencé, sans grand chose à dire, mais sachant que nous étions bien.. Je pensais que quelque chose m' intéressait.. Je ne voulais pas me laisser abuser parce que je ne savais pas où nous allions en finir.. Je n'ai pas pensé à l'accident qui m'attendait.. à la mi-juin, il faisait très très chaud, il ne donnait plus que pour être en sous-vêtements et si vous pouviez être complètement nu. Je lui demande si elle travaille aujourd'hui. Elle sait que le dimanche, elle travaille.. Je suis passé par la boutique et je ne t'ai pas vu.. Il m'a écrit sans attendre de réponse.. J'avais déjà résigné que rien ne se passerait plus parce que dans les dernières conversations que nous avons eues, ce n'était rien de plus qu'une sorte d'amis, un intérêt plutôt vague.. Même si c'était formel, je sentais qu'il n'y avait rien à nous dire.. Je prends la journée, pourquoi? Je lui ai demandé et j'ai eu l'impression que c'était bizarre qu'elle passe par la boutique parce qu'elle n'avait pas à traverser cette rue pour aller à la boulangerie.. J'avais hâte de te voir.. Il m'a répondu que j'étais sur le point de mourir, mon cœur battait vite et je ne pensais pas que je dirais ça même dans mille ans.. Je passerai te chercher plus tard, si tu veux. Et là où il était sorti, je ne m'y attendais pas non plus.. Et que je ne prends personne avec moi.. Si vous voulez.. Il m' a répondu.. pff, il aurait pu juste dire oui et nous avons tourné le cercle vicieux que nous connaissons déjà, de si je veux, si tu veux. Bien sûr, c'est pas grave, et je savais que vous viviez dans le Jersey.. Je ne comprenais toujours pas comment je cédais à tout cela. J'ai passé la journée à la baby shower d'une de mes amies, en pensant déjà à ce qui allait se passer, en imaginant le baiser le plus érotique, le plus attendu. Je suis arrivée vers 11h du soir à son lieu de travail, elle est sortie et est allée vers ma voiture, juste au cas où j'allais être nerveuse.. C'est plus que de penser à ça. Mon cœur bat plus vite.. - Bonjour. - Le plus sec salut de toute l'histoire, je l'ai senti même avec lourdeur. - Comment ça va, alors? - Il a sonné comme ça. - J'avais hâte de te voir.. - Et d'où cela est venu, je sentais juste les bougies brûler, même mes oreilles me faisaient palpiter. J'avais envie de te voir aussi - Mon Dieu, si je rêvais que quelqu'un me ramène des nuages. Je suis allé vers elle et je lui ai donné un baiser sur la joue.. Je souriais seulement. Avec ce sourire, je pourrais descendre en enfer si elle le voulait.. Je sais où tu vis, mais je savais déjà la réponse. Au moins, la ville où tu vivais.. Je n'étais pas un vrai harceleur non plus.. Jersey, je vais vous donner l'adresse.. En moins de 30 minutes, nous étions déjà arrivés chez lui, il ne me semblait pas loin et le trajet nous a aidés à mieux nous connaître, c'était la conversation la plus longue que nous ayons eu car dans les chats, c'était ennuyeux et monotone.. - On dirait qu'on est arrivés - Je lui ai dit et elle avait déjà les clés dans ses mains, elle m'a regardé avec ces yeux de café clair qui étaient la plus belle distraction, elle a souri sur le côté et est venu le plus lentement possible, elle m'a laissé un baiser sur la joue et m'a regardé dans les yeux. Tu me préviendras quand tu seras là, d'accord? Je ne lui laisse pas répondre si elle veut, elle descend aussi vite qu'elle peut et ferme la porte. J’étais abasourdi et je me suis dit : « Qu’est-ce que c’est ? » N’est-ce pas que j’attendais quelque chose (bien sûr que j’y étais), j’ai attrapé ma vape qui était juste à côté, et j’ai pris trois bouffées juste pour essayer de détendre la colère que je ressentais, que je ne comprenais pas pourquoi je me sentais utilisé ? Était-ce le mot ou idiot ? J’avais déjà du mal à comprendre ce qu’elle me faisait. Je n'ai pas réfléchi. Je me suis déchaîné et j'ai continué mon chemin.. Après cette nuit, je ne peux nier que la flirtation avait augmenté de 50% depuis que nous nous sommes rencontrés.. Je sais que nous étions sur la bonne voie, lentement mais sûrement. Août était chaud et beaucoup plus chaud que moi, je ne pouvais penser à Camila, dans toutes les positions et pour avoir. Je trouvais trop.. Je suis sexy? Camila n'était pas si haute, brune et de peau de cannelle, avec ses cheveux noirs au-dessous des épaules, très très belle.. Ses yeux bruns, on pouvait voir du miel, si on les voyait au soleil.. Ses lèvres étaient pleines de sexy, toujours roses et sur le côté droit du coin de ses lèvres il y avait une teigne qui était ma perte et probablement celle de beaucoup et beaucoup. Elle était mince mais proportionnée, elle avait une belle poitrine et un derrière digne de se retourner pour regarder.. Ses jambes étaient aussi délicates et ses mains toujours manicurées. Les teintes sombres sur les ongles ne m'ont jamais plu mais sur elle, ça me rendait fou, je peux vous l'assurer.. Son sourire, avec ses dents parfaitement droites et presque blanches. Je portais toujours du noir. Je me l'imagine pour le travail.. On portait les mêmes baskets, la même marque, le même style, mais la couleur différente.. Moi, par contre, j'ai le teint blanc, je ne suis pas très grande, j'ai les yeux bruns et les cheveux bruns avec des éclats blonds. Même là, nous sommes différents, mais les pôles opposés s'attirent.. J'avais dit à Camila que je sortirais bientôt les nations de l'année. J'étais excitée, c'était une semaine dont j'avais besoin pour tout ce que je n'avais pas fait de l'année.. Je n'avais pas l'intention de quitter la ville, mais le simple fait d'être au repos m'excitait déjà.. C'était vendredi soir et j'avais des projets avec mes amies, je voulais les voir et leur dire absolument tout ce qui m'arrivait avec cette fille.. Elles avaient déjà une certaine connaissance de ce qui m'arrivait mais certainement pas les détails.. Ce vendredi-là, on avait prévu de prendre une bière dans le bar qu'on aimait.. On s'est donc réunis vers 6 heures, pour rentrer tôt à la maison, selon nous.. Et ainsi a commencé le gaspillage, une ronde est venue et puis une autre, et puis une autre. La prochaine chose que je sais, c'est qu'on avait déjà plus de quatre rondes de bière et le plat d'aile complètement vide.. Il n’avait pas encore abordé mon sujet parce que nous étions à Maria en train de nous raconter ses deux relations amoureuses. Même si j'avais passé toute l'après-midi à envoyer des textos à Camilla, et surtout maintenant que j'avais des verres sur moi.. Je me suis sûrement pris la hardiesse de lui demander ce que nous allions faire de tout ce que je ressentais parce que j'étais plus que prête pour ce qui allait arriver.. Il est 12 heures ou 1 heure, je ne me souviens pas bien et je me lance comme une petite fille. - Je suis avec des amies dans un bar, je leur dirai quelque chose sur toi? Je lui demande avec un sourire moqueur. Je ne pense pas que ce soit bien, ou au moins, attendez le prochain tour.. - Elle m'a répondu et je suis sûre qu'elle avait le même sourire que moi (évidemment moi la plus convaincue). - Je lui ai dit, même si je ne faisais que m'assurer qu'elle savait que j'étais totalement hors de la boîte.. Les bières sont déjà collées, non? - Il me répondait vite, comme s'il s'assurait que je passais avec mes amies.. Je rigolais et je ne le prenais pas si sérieusement, mais maintenant en regardant en arrière si c'était sérieux. Un peu oui, mais je veux aussi savoir si ça vaut la peine de continuer à te parler ou si je me retire? Je lui ai jeté ça sans réfléchir parce que c'était littéralement maintenant ou jamais et j'en avais marre de l'attente. Je me demande et je me sentais que je voulais avoir devant elle juste pour lui montrer ce que je voulais faire. Eh bien, en vérité, si je voudrais savoir si nous sommes enfin sur la même page, parce que les amis ne veulent pas. - Si tout était définitivement la faute de la bière que j'avais déjà perdu le compte sur lequel je suis allé. C'est que si c'est bizarre, je ne sais pas. Si je sens que vous m'attirez, que je vous aime plutôt, mais je ne sais pas. Je suis nouvelle dans ce domaine.. J'étais dans le ciel, en vol, ou au moins j'atteignais le ciel avec mes propres doigts.. Mon Dieu, il a sauté de la table et je leur ai dit. - Il l'a aimé aussi.. Mes amies ne comprenaient même pas ce que je disais, même si je pouvais clairement le déduire, car j'avais passé toute l'après-midi au téléphone.. Je l'ai mis et je savais que dans ces circonstances, il était un peu ivre. Il ne pouvait pas conduire.. Oui, vous me dites. On va prendre quelque chose pour Noël. Le dernier message de la nuit. Merci à mon téléphone.
Du côté sombre de ta peau tu m'éclaires. Laisse-moi être le loup ombre de soif et chien et faim qui entre dans la nuit de ton corps avec des pas humides, hésitants, dans ta forêt incertaine ton odeur de mer me guide vers tes vagues pour toucher à l'intérieur la lune croissante de ton sourire. Laisse-moi connaître avec la langue même l'obscurité la plus profonde, la plus silencieuse, et invoquer avec des mouvements répétés, des rituels comme des hurlements, la pleine lune de ton corps, qui me porte à toi comme si c'était moi, dans tes mains, l'eau que tu transformes en marée éclairée. “L’AMOUR DES FRUITS » Gioconda Belli : Laisse-moi répandre des pommes sur ton sexe, des nectars de mangue, de la chair de fraise ; Votre corps n’est que fruits. Je t'embrasse et les mandarins courent, je t'embrasse et tous les raisins déversent le vin caché de leur cœur sur ma bouche. Ma langue sent dans tes bras le jus d'orange doux et dans tes jambes la grenade cache ses graines stimulantes. Laisse-moi récolter les fruits de l'eau qui transpirent dans tes pores: mon homme de citrons et de poires, donne-moi à boire des sources de pêchers et de bananes des grappes de cerises. Ton corps est le paradis perdu dont aucun dieu ne pourra jamais me chasser..
J'aime ta nudité parce que nue tu me bois avec tes pores, comme l'eau quand à l'intérieur de ses murs je me plonge. Ta nudité brise les limites par sa chaleur, m’ouvre toutes les portes pour que je te devine, me prend par la main comme un enfant perdu qui en toi laissera encore son âge et ses interrogations. Ta peau douce et saumâtre que je respire et sirote devient mon univers, le credo qui se nourrit ; La lampe parfumée que je lève quand je suis aveugle quand les désirs aboient après moi à côté des ombres. Quand tu me déshabilles les yeux fermés tu t'accroches à une coupe voisine de ma langue, tu t'accroches entre mes mains comme du pain nécessaire, tu t'accroches sous mon corps plus complètement que son ombre. Le jour où tu mourras, je t'enterrerai nue pour que ton lot soit pur sur terre, pour que je puisse te baiser la peau sur les chemins, tisser dans chaque rivière les cheveux éparpillés. Le jour où tu mourras, je t'enterrerai nue, comme lorsque tu es née de nouveau entre mes jambes..
Eras el vientre materno: Ma bouche pleine de seins, ma langue, mon phallus, ma fente pleine de salive et de muscles. Les corps reflétaient la gravité exacte, la proportion magique de tes hanches en apesanteur reposant sur mes os. Dans ce centre de centres, les corps rampent, volent, ou peut-être glissent, comme les corps célestes sur la Voie lactée, comme les corps terrestres suspendus dans l’union qui prolonge l’espace prénatal.
Que ton sang soit un avec le mien. ta bouche entre ma bouche et la mienne. Ton cœur élargit le mien jusqu'à ce qu'il explose... déchire-moi. Tu me tombes entièrement dans les entrailles. Je vous ai dit de mettre vos mains dans mes mains. Que tes pieds marchent sur mes pieds, tes pieds. Je suis là. Je veux ta douceur. Je veux que tu me baigne le palais. Tu es en moi comme le bois est sur le bâton. Je ne peux plus, avec cette soif qui me brûle. Je suis brûlé par cette soif. La solitude, ses corbeaux, ses chiens, ses morceaux.
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